Après les déclarations inédites du Président de la République des frustrés et jaloux se lâchent sur les réseaux sociaux. Leur cible : AJIR, son Président et ceux qui le soutiennent.
Au lieu de se réjouir de cette avancée, certain-e-s n’hésitent pas à crier leur éternelle insatisfaction.
La loi réclamée depuis si longtemps, par de nombreuses associations, devient d’un seul coup insuffisante voire inutile ! La commission d’évaluation des préjudices n’est pas constituée (à notre connaissance) que déjà certains veulent la torpiller… tout en rêvant d’en faire partie ! Oui, ils ne sont pas à une contradiction près.
La mauvaise foi, la méchanceté et la bêtise n’ayant pas de limite, on assiste depuis quelques temps à un florilège d’attaques ridicules.
AJIR ou son Président, et les 3 personnes qui ont pris la parole ne représenteraient pas les Harkis ? Quand ont-ils dit qu’ils représentaient tous les Harkis ? Le plus risible est que cette critique vient de personnes qui ont fait partie de la commission Ceaux sans se poser de question sur leur légitimité (et avec quel résultat !!) ou de Présidents auto-proclamés et sans adhérents ! Au lieu d’être fiers de voir des personnes compétentes et crédibles, respectées en haut lieu, se battre pour les anciens harkis et leurs familles, cette poignée de frustrés les critique et essaye de les salir. Ils préfèrent être représentés par des personnes qui osent interrompre le Président de la République au mépris de l’éducation la plus élémentaire ?
AJIR « roulerait » pour Macron? Au sein d’AJIR il y a des gens de gauche, de droite, du centre et de nulle part. L’apolitisme d’AJIR ne consiste pas à refuser à ses membres des convictions politiques mais à avoir en son sein des personnes de tous les bords. AJIR existe depuis 1998 et n’a fait campagne pour aucun candidat. Boussad Azni, en son temps, avait lui fait ouvertement campagne pour Sarkozy… et AJIR ne l’a pas critiqué ni vilipendé pour cela. Car AJIR a mieux à faire que critiquer d’autres associations.
L’annonce du 20 septembre est un coup électoral? Le Président était prêt à aller vers la réparation dès 2019 (voir discours lors de la cérémonie du 9 juillet). Mais la crise sanitaire d’une rare violence a tout relégué au second plan. De plus qui a empêché les autres Présidents de demander pardon, faire un projet de loi reconnaissant la responsabilité de l’Etat français et mettre en place une commission d’évaluation des préjudices ?
AJIR ne s’occupe des Harkis que depuis un an ? AJIR existe depuis 1998. Lors des débats pour la loi de 2005, une seule association a été citée : AJIR. En 2000, lorsque Boutéfklika insulte les Harkis c’est Mohand Hamoumou qui répond le lendemain à la télé après une opération concertée avec Abdelkrim Klech!
On ne parle que des 4 intervenants à l’Elysée alors que tant d’autres se sont battus pour cette cause?. A l’Elysée, malgré le temps court imparti, Claire Houd a rendu hommage à Abdelkrim Klech et Mohand Hamoumou a commencé son discours par « une pensée pour tous ceux qui ne peuvent être là, de M’Hamed Laradji à Abdelkrim Klech».
On ne perdra pas plus de temps ni d’énergie car nous ne convaincrons pas ces jaloux maladifs qui font que notre communauté passe pour la championne de « l’art de perdre » comme dit Alice Zéniter (lire ici). Désormais on ne répondra plus. On préfère continuer à travailler.
Merci à toutes celles et tous ceux qui nous ont rejoint. Ensemble continuons à veiller à ce que la volonté du Président ne soit pas déformée ou réduite. Continuons de rassembler les personnes constructives, positives pour être plus fort et veiller à une juste réparation de tous les préjudices avérés. Merci aux associations qui nous rejoignent et aux sections départementales AJIR qui se créent. Afin d’agir pour les Harkis, leur mémoire, leur honneur. C’est cela qui compte.
Au fond, on aime bien la devise de la Légion étrangère : « Faire et laisser braire ! »